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l'agriculteur

Publié par : germaine82ton le 04/05/2025
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Nous avions convenu d’un rendez vous en pleine nature. j’avais remarqué une ferme abandonnée, ou du moins sans usage, à quelques kilomètres de chez moi. Nous étions au printemps et la végétation s’exprimait sans contrainte nous mettant hors de vue de la route. J’étais arrivé en premier et assuré de notre isolement, j’envoyais à mon amant d’un jour un SMS pour lui confirmer la discrétion du lieu. Je n’avais gardé qu’une chemisette et un string et lui fis un petit signe à son arrivée. Rassuré, il s’approcha de moi, fit glisser son pantalon et m’invita à honorer son sexe. Je m’agenouillai, sortis sa verge du boxer et la caressai. Fine, elle gonfla à mesure de mes attouchements et de mes coups de langue. Elle se dressa, dure et droite, je me fis l’impression d’un communiant en adoration devant un cierge. A un moment, n’y tenant plus, il me fit me relever et me retournant m’appuya contre la porte à deux battants, de ce qui fut l’étable, m’ouvrit les fesses et approcha son gland de ma rondelle. Il n’eut pas de peine à s’introduire plus avant, et après avoir marqué une pause, m’enfila entièrement. Je creusai les reins et, ouvrant mon fessier, allai à l’avant de ses coups de reins. Il sentit le désir monter en moi et accéléra ses va-et-vient, non sans m’avoir traité de grosse salope ! Le plaisir monta en moi et je le sentis décharger par la violence de ses à-coups.C’est ce moment que choisit un homme qui devait nous observer depuis un moment pour intervenir.Où vous croyez vous pour faire vos saloperies ? Ce n’est pas une porcherie ici ! Vous êtes chez moi et vous allez déguerpir plus vite cela, nom de Dieu. Et pour bien se faire comprendre, il arborait un fusil qu’il arma en notre direction.Mon amant ne se le fit pas dire deux fois et, m’abandonnant, il se précipita, tout en remontant son pantalon, vers sa voiture.J’allai faire de même lorsque le proprio m’intima de rester où j’étais dans la même position.S’approchant de moi, il observa ce que je devinais : mon anus s’ouvrait et se refermait, sur le vide que laissait la queue ayant trop vite déculé.Mais tu es une vraie femelle en chaleur ! Je m’y connais en génisse. Tant qu’elles n’ont pas connu le taureau, elles ne sont pas rassasiées. Ce disant, il me tâtait les fesses du bout de son canon, et vint le planter dans ma chatte. Vous imaginez ma terreur, ce fou allait me tuer et il prétendrait ensuite avoir aperçu un sanglier à travers les branchages.Puis il posa son fusil, et ouvrant son pantalon : je parie qu’on n’en voit pas beaucoup des comme ça à Paris. Regarde, palpe !Siffredi ou Zidane, sur les causses du Quercy ! J’avoue avoir été impressionné, et rassuré, même si ses dimensions me faisaient craindre le viol qui allait advenir.Mon épouse me délaisse ces derniers temps, j’ai les couilles pleines, j’ai bien besoin d’une putain comme toi. Il ouvrit la porte de l’établ ...

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Palabras clave : En partie vraie, Gay, Sodomie, Soumission/domination