Je m'appelle Alex, un jeune commercial de 28 ans, avec un corps athlétique sculpté par des heures de CrossFit – 1m78, 75 kg de muscles secs, des abdos ciselés, une peau claire et lisse, et des fesses fermes et rebondies qui font tourner les têtes. J'habite à Lyon, mais pour pimenter ma vie sexuelle, j'ai décidé de poser une annonce sur lieux de drague croozr , Grindr et sur Wannonce, pour maximiser et choisir mes queues ! Cherchant des mecs bien montés pour me démonter sans relâche. Mon annonce était claire : "Passif gourmand cherche queues XXL pour sessions intenses à Saint-Étienne, hôtel Première Classe. Un par un, à la chaîne, pas de gang bang – je veux savourer chaque bite. Dispo ce week-end, soyez endurants et dominateurs." J'ai ajouté des photos de mon cul cambré et de ma bouche entrouverte, pour attirer les alphas.Le samedi soir arrive, et j'ai réservé une chambre basique à l'hôtel Première Classe de Saint-Étienne, avec son lit double impersonnel et sa salle de bain minuscule – parfait pour du sexe brut et anonyme. J'ai donné le numéro de chambre et l'heure aux cinq mecs qui m'ont contacté, en les espaçant d'une heure chacun pour éviter les croisements. Mon cœur bat la chamade ; j'adore l'idée d'être utilisé comme un trou à bites, un après l'autre, sans pause réelle.Le premier arrive à 20h : un ouvrier du bâtiment nommé Karim, 35 ans, d'origine maghrébine, avec un physique massif – 1m90, 95 kg de muscles saillants, une poitrine large et poilue, des bras tatoués et une bosse énorme sous son jogging. Ses yeux noirs me déshabillent dès la porte. Sans un mot, il me plaque contre le mur, sa main calleuse empoignant ma nuque. "T'es prêt à te faire démonter, salope ?" grogne-t-il. Je hoche la tête, excité. Il baisse son pantalon, révélant une queue monstrueuse : 22 cm de long, épaisse comme mon poignet, veinée, avec un gland large et circoncis qui pointe déjà dur. Je tombe à genoux et l'engloutis avidement, suçant goulûment, ma langue tourbillonnant autour de son gland pendant que je masse ses couilles lourdes et pendantes. Il me baise la bouche violemment, enfonçant jusqu'à la gorge, me faisant tousser et baver, ses hanches claquant contre mon visage.Puis, il me relève, me jette sur le lit à plat ventre, et verse du lubrifiant sur mon trou serré et rose. Ses doigts épais m'ouvrent d'abord – un, puis deux, étirant mes parois. "Ton cul est parfait pour ma bite," murmure-t-il. Il positionne son gland contre mon anus et pousse fermement ; je sens mon trou s'écarter douloureusement mais délicieusement autour de sa tige massive, l'avalant centimètre par centimètre jusqu'aux couilles. Il commence à me pilonner sans ménagement, ses coups de reins puissants me faisant gémir comme une chienne en chaleur. "Prends ça, petite pute !" crie-t-il, alternant entre va-et-vient lents pour que je sente chaque veine et accélérations brutales où ses couilles claquent contre les miennes. Il me traite de tous les noms, me fessant les fesses qui rougissent sous ses paumes. Après 20 minutes intenses, il s'enfonce au fond et jouit en jets puissants, sans capote comme convenu, remplissant mon cul de sa semence chaude qui déborde quand il se retire. Il part en me laissant pantelant, le sperme coulant entre mes cuisses.À peine 10 minutes pour me nettoyer sommairement, et le deuxième frappe : un cadre en costard nommé Julien, 42 ans, type caucasien raffiné mais vicieux, 1m85, corps sec et musclé comme un runner, avec une queue droite et longue de 21 cm, fine mais dure comme de l'acier, surmontée d'une toison pubienne taillée. Il entre, me sourit sadiquement, et m'ordonne de me déshabiller. "À genoux, suce-moi jusqu'à ce que je sois prêt." J'obéis, léchant sa bite de bas en haut, gobant ses couilles rasées, puis l'avalant profondément pendant qu'il me tient la tête. Il me facefucke doucement au début, puis accélère, me faisant deepthroat jusqu'aux larmes.Il me met ensuite en levrette sur le lit, crache sur mon trou déjà lubrifié par le sperme précédent, et entre d'un coup sec. Sa queue longue touche des zones profondes, me faisant hurler de plaisir. Il me baise rythmiquement, ses mains sur mes hanches minces, alternant avec des claques sur mes fesses. "T'aimes te faire remplir, hein ?" Je ...

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