Je m'appelle Ethan, un graphiste de 32 ans vivant dans une petite maison cosy à Brooklyn, New York. J'avais décidé de refaire entièrement ma cuisine pour la moderniser un peu. Après avoir démoli les vieux placards et refait la plomberie et l'électricité, il me restait à poser les nouveaux comptoirs en granit. J'ai demandé de l'aide à mon voisin d'à côté, Marco, un Italien robuste de 58 ans, ancien maçon à la retraite. Avec ses épaules larges, sa poitrine poilue et musclée forgée par des années de chantier, et son ventre légèrement arrondi qui lui donnait un air viril et imposant, Marco était le genre d'homme qui imposait le respect. Ses cheveux poivre et sel, sa barbe grisonnante et ses yeux sombres pétillants le rendaient irrésistiblement charismatique, et je ne pouvais m'empêcher de remarquer la bosse généreuse qui se dessinait sous son jean usé.Toute la matinée, on a bossé côte à côte, à couper et fixer les comptoirs, en discutant de tout et de rien. Il m'a confié qu'il prévoyait un voyage en Italie pour retrouver des racines et peut-être rencontrer quelqu'un, vu qu'il était veuf depuis une décennie. "Ça fait des lustres que je n'ai pas baisé," m'a-t-il avoué avec un sourire en coin, sa voix grave résonnant dans la pièce. "Le corps en a besoin, tu sais." J'ai glissé subtilement que certains mecs aimaient jouer le rôle passif pour d'autres, histoire de combler les manques. Il a haussé les sourcils, intrigué : "Je suis pas contre l'idée, mais c'est pas facile à dénicher." Je lui ai répondu, avec un clin d'œil : "Pour te remercier de ton coup de main, je pourrais te rendre la pareille... comme tu veux."À la fin de la journée, ma cuisine était en chantier et je n'avais plus d'eau chaude. Marco m'a proposé de venir prendre une douche chez lui, juste à côté. J'ai attrapé mon sac et je l'ai suivi. Il m'a ouvert la porte en boxer moulant, révélant ses cuisses épaisses et poilues, et son torse massif couvert d'une toison noire et grise qui descendait jusqu'à son entrejambe. "Vas-y en premier, je t'en prie," m'a-t-il dit, mais son regard sur mon corps athlétique – mes abdos dessinés, mes fesses fermes et rebondies après des années de gym – en disait long.Dans sa salle de bain spacieuse, je me suis déshabillé, révélant mon corps lisse et tonique, ma queue déjà à moitié dure à l'idée de ce qui pourrait arriver. Sous le jet d'eau chaude, je me suis savonné lentement, laissant mes doigts glisser entre mes fesses musclées, effleurant mon trou serré pour me détendre. Soudain, la porte s'est ouverte sans bruit, et Marco est entré nu comme un ver. Son corps imposant remplissait l'espace : 1m85 de muscles matures, une peau olive tannée par le soleil, et son sexe épais, veiné, déjà en semi-érection, pendant lourdement entre ses jambes poilues. Il mesurait bien 20 cm, avec un gland large et rose qui me faisait saliver.Il s'est glissé dans la douche derrière moi, son corps collé au mien, sa poitrine poilue contre mon dos lisse. Sous prétexte de m'aider à me savonner, ses grandes mains calleuses ont parcouru ma peau : d'abord mes épaules, puis descendant sur mes pecs fermes, pinçant mes tétons durcis, avant de glisser sur mon ventre plat et d'effleurer ma queue raide. Je sentais sa bite gonfler contre mes fesses, se nichant entre elles comme si elle cherchait son chemin. "T'es un beau gosse, Ethan," a-t-il grogné à mon oreille, son souffle chaud me faisant frissonner. Je me suis retourné, et c'est moi qui l'ai savonné : mes mains sur son torse velu, descendant sur son ventre, puis empoignant son sexe dur comme du roc, le branlant lentement pour sentir ses veines pulser.C'est là qu'il m'a fixé dans les yeux : "Tu vas me rendre service, hein ? Me faire jouir comme une vraie salope." Avant que je réponde, il a écrasé ses lèvres sur les miennes, sa langue épaisse envahissant ma bouche dans un baiser profond, dominateur, mêlant nos salives pendant que nos queues se frottaient l'une contre l'autre sous l'eau.On est sortis de la douche, encore dégoulinants, et il m'a essuyé avec une serviette, ses mains s'attardant sur mes fesses rondes. Puis, une main ferme sur ma hanche, son index pressant contre mon anus, il m'a guidé jusqu'à sa chambre. "Ce soir, tu seras ma petite chienne," a-t-il murmur ...

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