Je poussais la porte des toilettes et je le vis direct : un petit mec rondouillard, adossé au mur, jean baissé, qui se branlait doucement. Sa bite énorme sortait de sa bedaine, raide, veinée, luisante. Il me regarda, rougit, mais continua en souriant timidement.Je me glissai à côté de lui. J’ai sorti ma queue, déjà dure. On se branlait côte à côte, en silence, nos épaules potelées qui se frôlaient.Dix secondes plus tard il tourna la tête, voix rauque :« Tu veux toucher ? »J’ai pas répondu, j’ai juste empoigné sa grosse bite brûlante. Il gémit, prit la mienne dans sa petite main moite. On s’est branlés mutuellement, lentement d’abord, puis plus vite, les souffles courts.Il m’a poussé dans la cabine du fond, claqua la porte, verrouilla. Il m’attrapa la nuque et colla sa bouche sur la mienne. Langue épaisse, goût de menthe et de sueur. On s’est roulé des pelles voraces, sa barbe de trois jours qui grattait, ses mains potelées pétrissant mes fesses. Salive partout, langues qui claquent, mordillements de lèvres. Il me plaqua contre la cloison, bedaine chaude contre mon torse, et on s’embrassa encore plus sale, jusqu’à ce qu’on halète comme des bêtes.Je tombai à genoux. Sa bite pulsait devant mon nez. Je léchai le gland gonflé, tournai ma langue autour du frein, aspirai le bout comme une friandise. J’ouvris grand et avalai d’un trait ; il cogna direct au fond de ma gorge. Je contractai, déglutis, gorge ouverte. Il baisa ma bouche : lent, profond, puis rapide, ses couilles poilues claquant mon menton. Je bavais des litres, fils de salive pendants, mains dans ses fesses rondes. Je suçais à fond, bruits obscènes, gorge qui gargouille. Je remontais pour gober ses couilles lourdes, les aspirer une par une, langue qui fouille, puis replongeais jusqu’au nez dans ses poils. Il tremblait, jurait, tirait mes cheveux.Dernier roulage de pelle : il me releva, langue au fond de ma gorge, goût de bite et de salive. Il sortit une capote XL, la déchira avec les dents, la roula sur sa queue monstrueuse. Latex tendu à bloc. Il cracha trois fois, enduisit le bout, glissa deux doigts crachés dans mon cul.« Penche-toi, beau gosse. »Je me cambrerai. Gland capoté contre mon trou. Première pression : brûlure, passage. Il s’arrêta, caressa mon dos. Puis enfonça lentement, chaque veine à travers le latex. Quand ses couilles touchèrent les miennes, j’étais plein. Il resta là, mordit mon épaule.Il démarra : petits coups, puis longs, profonds. Sa bedaine claquait, ses mains agrippaient. Le latex chauffait, frottait. Je poussais en arrière, suppliais « plus fort ». Il pilonna, cabine qui tremble, mes parois qui serrent ...

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